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S'aimer dans toute les situations


Nous le savons, la vie est un jeu et selon le jeu que vous possédez et quoi que vous fassiez ou pensiez, vous ne pourrez que jouer... avec!!


Ceci n'est pas toujours facile, mais est-ce pour autant impossible.

Le plus difficile en réalité n'est pas le jeu en lui même. Le plus difficile est de ne pas connaître ses règles voir pire jouer les cartes face cachée.

En réalité, nous le vivons tous à des niveaux différents... 7 milliards d'individus, 7 milliards de façon de vivre cette expérience sur terre du jeu...


A ce stade de la lecture, observez comment votre mental cherche à poser son filtre et sa légende personnelle sur ce que j'annonce.


Celles et ceux que j'accompagne, entendent parfaitement ce que je dis là et je vois d'ici, tout vos sourires... oui oui celui-là même qui s'agrandit en poursuivant la lecture de ces mots... que ma voix se posent sur ces mots que vous lisez. Vous pourriez même rire tout seul ou me répondre à voix haute!!! Faites-le.


Pour les autres qui découvrent peut-être mon travail, la tâche peut être compliquée. Si vous en êtes à lire cette partie c'est que vous avez ce désir d'en apprendre davantage de vous et en découvrir davantage sur vous. Cela est parfait, soyez fier de vous et continuez à vider votre coupe, vous savez celle pleine de pensées et de vérités étouffées par les expériences et les preuves irréfutables, des croyances inconscientes ou limitantes sans évoquer celles qui vous auto-sabotent.


"Ce que le mental ne connaît pas, le mental n'aime pas" et l'inverse est tout à fait correct également. Mais nous n'iront pas aujourd'hui sur la dimension cognitive de la chose.


Ici il est question de l'aspect énergétique d'apprendre à s'aimer dans toutes les situations et de façon inconditionnelle. Je vais y aller progressivement ne vous inquiétez pas.


Le grand piège est la peur.

La peur de ne pas y arriver, que ça marche pour les autres mais pas vous.

La peur d'être démasquée dans vos mises en scène de bête de concours "même pas peurs... même pas". Mais quand la température du corps augmente, le coeur s'accélère, la gorge se serre, des sensations physiques et mentales resonnent jusque dans vos oreilles, vos mains deviennent moites.... et parfois un mal être proche de malaise comme pour indiquer que tout explose en vous mais...à l'extérieur implacide, calme...

WAOUUUUU Quelle dépense énergétique il faut pour lutter contre ce qui vit en soi!!

Alors qu'est ce qui se vit et vibre en vous dans:

Vos peurs de pas être aimer qui vous pousse à vous taire?

Vos peurs d'être mal jugé qui vous pousse à en faire des tonnes.

Vos peurs d'être déstabilisé qui vous pousse à d'être arrogant ou agressif.

Vos peurs d'être ridiculisé qui vous pousse à ne rien exprimer de vous.

Vos peurs d'être trahi qui vous pousse à être suspicieux de tout en restant aux aguets.


Dans le processus que l'on engage, l'ennemi le plus puissant est soi!!! Combien de fois, j'entend " j'espère"!!!! l'espoir n'a pas de place dans le changement.

Imaginez-vous devoir saisir ou prendre quelque chose dans vis mains.

Entretenez vous l'espoir de le saisir ou le saisissez-vous??? ( et oui c'est aussi simple que cela).


"J'avance dans un processus que je ne peux absolument pas rater si je ne m'occupe que d'une seule chose: de mon élan vital, ma vitalité et mon éco-système intérieur".


Quand on regarde la vie avec objectivité, on ne maîtrise rien de ce qui se déroule sur le tapis.

Pourtant dans notre subjectivité (naturelle) notre mental, nous donne l'illusion que si tout se déroule parfaitement c'est grâce à nous, à nos efforts, de la manière d'agir et de se comporter... pire de croire comprendre le sens de la vie.

Mais quand tout "fout le camp" alors le mental se la joue autrement. Si les choses ne se déroulent pas comme on le souhaite ou comme on se l'imagine alors " c'est à cause de l'autre, du sort qui s'acharne. En mode victime alors les " j'ai jamais de chance... il y a toujours quelque chose qui coince..." arrive comme le pain maudit.

Voilà ce qu'on se raconte pour ne pas s'attribuer la responsabilité de nos prétendus échecs... "Prétendu" parce qu'il n'y a pas échec, juste un résultat qui n'avait pas été voulu. Rien de plus que cela. On est donc responsable des effets que l'on produit.

Jusqu'ici, est ce que vous êtes d'accord avec ça?


Peu importe le jeu que vous aviez au départ et celui que vous possédez aujourd'hui car l'essentiel est de jouer les cartes retournées et les yeux ouvert pour expérimenter une nouvelle ressource et laisser s'exprimer d'autres habiletés intérieures.


Le premier travail est de conscientiser ce que vous vous racontez et découvrir les motivations réelles de votre inconscient.


Que faisait-il, que joue-t-il ou rejoue-t-il pour que ça soit bon pour vous dans ce que vous pensiez être la vérité?

Derrière toutes ces illusions, persuasions, croyances il y a Vous. Celui qui a juste besoin d'être reconnu pour ce qu'il est et aimé tel quel. Pourtant alourdi par le poid du regard de la famille, le poid des injonctions, le lourd poid de l'image même de la réussite; ces poids créent une torsion entre ce que l'on ressent en soi comme bon et ce que l'on croit qu'il faut être et faire pour être une bonne personne.


Découvrir cela permet de retrouver le chemin de celui que nous sommes, de détricoter le pull tricoté pour nous et de retourner les cartes pour jouer le jeu en conscience.


Qu'on soit une bonne personne ou une mauvaise personne, que vos intentions soient morales ou pas, le jugement n'a pas de place.


La seule question est de savoir si vous, vous vous sentez remplie ou vide, à votre place ou ailleurs, vivant ou éteint, vibrant ou errant, pétillant ou lourd....


A vous de jouer.


Avec tout mon amour.



 
 
 

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